jeromeparonneau

Prise de vue pendant mon footing. Le charme agréable de la campagne et d’une jolie petite ville. L’idéal pour pouvoir lire et écrire. Un paysage d’auteur !

Mes jonquilles sont précoces cette année. Mais je ne vais pas m’en plaindre. J’aime lire et écrire en posant mes yeux sur les fleurs, le monde, la nature. Quel plus beau spectacle que la Terre ?

Mon roman véhicule des valeurs sûres, des valeurs que nous ne devrions pas oublier. Il y a Marcelin, c’est un esclave réunionnais du 19ème siècle. Lettré, il tient son journal intime et raconte sa vie dans les champs et auprès de ses différents maîtres. Ses drames, ses amours, ses rêves, Lire la suite…

Mon amour, Tellement de choses accomplies avec toi depuis que nous sommes ensemble. Deux ans déjà, comme le temps passe vite. Ce site internet existe parce que tu es là, et que j’ai appris à m’en servir, à me familiariser avec lui. Ces livres, enfin publiés, c’est aussi grâce à Lire la suite…

Ces photos de toi, d’un autre temps. Ton chien, Boby, qui s’est laissé mourir quand tu es parti, et qui nous a tant fait pleurer, c’était comme te perdre une deuxième fois. Ton vieux copain Jo, à qui tu manques sûrement terriblement mais qui ne dira jamais rien, par modestie. Lire la suite…

Ce livre, « Les Hauts de Tan Rouge », réveille le passé. J’avais sous-estimé le fait que mon papa était également un collègue, un ami, un homme que l’on aimait. Je suis touché par les gens qui me contactent. Des gens qui l’ont connu, qui se souviennent. Merci infiniment pour vos messages. Lire la suite…