Deuxième volet de la trilogie Ecossaise. Peter May reste fidèle à ses origines. On est complètement emportés dans les îles sauvages de l’Ecosse. Il est difficile de poser le roman pour vaquer à d’autres choses. Jusqu’à la fin l’auteur nous tient en haleine. Les personnages sont déchirés, à l’image des paysages que l’auteur décrit. Il y a la pluie, le vent, le froid, et il y a les larmes, les blessures, les souvenirs. Le décor ne fait qu’un avec les habitants. Et on retrouve Fin, toujours si déchiré, toujours prêt à trouver la vérité. Qu’est-ce qu’un demi siècle peut effacer dans la mémoire des hommes ? Ce livre en est un bel exemple. A lire sans hésiter.

Jérôme

Catégories : Galerie

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